“Les Libanais n’ont jamais été aussi humiliés ! Même durant les années de guerre les plus atroces, tous les médicaments étaient disponibles”, se désole un octogénaire de Beyrouth qui n’arrive pas à trouver d’antidiabétique pour son traitement. “L’insuline, une molécule indispensable au traitement des diabétiques de type 1, est en rupture de stock depuis plusieurs mois. Si elle est disponible, elle est vendue à des prix exorbitants”, explique le site libanais francophone Ici Beyrouth, qui dénonce un “génocide de sang-froid perpétré par nonchalance”.
Courrier International. SOURCE : Ici Beyrouth Alain E.Andrea . Publié le 03 janvier 2022 à 16h47
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